Au fil du temps, vous adoptez naturellement certains automatismes... Il se peut que vous ne remettiez pas toutes les décisions ou les procédures en question parce que vous avez toujours fait ainsi. En procédant de la sorte, vous pourriez passer à côté d’éléments qui mériteraient d’être améliorés parce que votre environnement ou certaines pratiques du secteur ont changé.
Dès lors, nous vous conseillons de commencer par un check-up de votre entreprise.
Check-up développement d'entreprise
Notre solution Audit 360, c’est le regard objectif d’un expert sur tous les aspects de votre entreprise. Il travaille en toute indépendance et une fois son audit établi, il rédige ses recommandations et vous propose un plan d’actions à mettre en œuvre.
L’amélioration des points faibles de votre entreprise favorise l’amélioration de ses performances économiques et financières. Cela ne peut que renforcer la confiance auprès de vos partenaires.
Cet audit d’entreprise s’inscrit à la fois dans une logique d’amélioration des performances que dans un but de croissance ou de pérennité.
Nous vous aidons à réaliser un check-up de votre entreprise grâce à un audit général axé sur les éléments immatériels.
Aujourd’hui, il est nécessaire de mettre en évidence les spécificités de votre produit ou service quand elles sont porteuses de valeur pour le client. La différenciation peut se faire sur d’autres terrains que le prix.
Certes, le prix va positionner le produit ou le service sur le marché. Mais pour séduire et convaincre les acheteurs il convient d’établir une stratégie durable. Voici des éléments de réflexion :
- Le service à la clientèle est un élément essentiel de votre entreprise. Il semble d’ailleurs qu’un client satisfait sera moins sensible au prix d’achat. C’est un peu comme si l’on achète un vêtement en prêt-à-porter ou en haute couture. Le savoir-faire, le conseil, l’approche humaine et la renommée ont un prix.
- La qualité esthétique ou artisanale peut également engendrer un surcoût, traduit par la valorisation d’un savoir-faire ou la mise en avant de l’aspect plastique, artistique ou rare d’un produit. Dans le même ordre d’idées, positionner son produit ou son service dans une stratégie «haut de gamme» positionne l’entreprise dans un segment précis.
- Les modes de production ou de distribution démontrent les préoccupations d’une entreprise pour le monde qui l’entoure. Si vous créez des produits ou services durables, locaux, verts, cela permettra à certains acheteurs de s’identifier et de participer à une démarche citoyenne et à votre entreprise de se démarquer. Un tel positionnement représente pour certains consommateurs une alternative intéressante sur le marché.
- L’innovation et la performance technique sont des atouts considérables dans certains domaines. L’argument d’être le premier, le plus pointu en nouvelles technologies permet à votre entreprise de communiquer sa différence. La diversification et le renouvellement de l’offre sont également des éléments de distinction.
- L’élimination des frustrations du client, en simplifiant les étapes de consommation, facilite le quotidien des consommateurs.
D’autres éléments à tenir en compte pour développer votre chiffre d’affaires :
- Fidéliser votre clientèle
Quand vos clients sont satisfaits, ils parlent de vous et de votre entreprise. Mais, au-delà du bouche-à-oreille, il existe de multiples moyens de transmettre facilement votre bonne réputation. Quelques exemples pour accroître la confiance du consommateur : un petit présent à chaque commande, la gratuité de la livraison, les rabais, etc. - Développer votre force commerciale
Embauchez de bons vendeurs. Si ceux-ci ont le savoir-faire et le savoir-être pour mettre en avant vos produits et/ou services, vous réaliserez beaucoup plus de ventes. Sinon, formez-les afin d’améliorer leurs compétences. - Prospecter de nouveaux clients
Vous le savez, vous ne pouvez pas vous contenter de vos acquis. Soyez toujours à la recherche de nouveaux prospects. Plusieurs moyens sont à votre portée à savoir les cartes de visite, les tracts et dépliants, les courriers personnalisés et newsletters, les réseaux sociaux, etc.
Commencer par la création d’un site web.
C’est vers lui que pointeront toutes vos autres communications en ligne.
La PME, dans son quotidien, fait face à de nombreux défis. La transformation numérique en est un. La digitalisation traîne une mauvaise réputation auprès des entrepreneurs, celle d’ajouter des tâches sur leurs épaules, d’être compliquée, couteuse et de demander une expertise qu’ils ne maitrisent pas toujours. Pour UCM, la digitalisation, si elle est accompagnée et soutenue financièrement, est une source importante de croissance et de développement pour les entreprises !
A l’approche des élections 2024, UCM réclame aux autorités politiques de soutenir financièrement la digitalisation des entreprises ! Découvrez nos revendications pour garantir la liberté d’entreprendre.
De manière générale, faire croître son entreprise s’accompagne d’un besoin en financement soit en trésorerie, soit en investissement. La recherche de financement tiendra compte des informations reprises dans le plan financier : les investissements à réaliser ainsi que les perspectives de rentabilité.
Il existe différentes formules de financement pour développer votre entreprise. L'important est de trouver la bonne combinaison entre les besoins de l’entreprise et les différentes offres du marché.
Outre les prêts bancaires classiques, il existe des prêts accordés par des institutions fédérales, régionales ou privées. Nous avons épinglé pour vous :
- la Sowalfin et la Socamut
- les Invests locaux
- les Business Angels…
Notons que les Invests et les Business Angels peuvent également intervenir sous forme de la prise de participation dans le capital de la société. Une filiale de la Sowalfin permet en outre de combler l’insuffisance de garanties du dirigeant.
La Wallonie peut également intervenir en soutien au développement d’une entreprise par l’octroi de primes. Nous vous conseillons de vous informer avant de réaliser des investissements car pour un certain nombre de primes, le dossier de demande doit être transmis au service compétent avant le démarrage des investissements.
Les conseillers UCM vous aident à analyser vos besoins, à décrire les étapes à franchir et à vous orienter vers les différents intervenants financiers.
À l'heure actuelle, la toile est devenue un canal indispensable pour les TPE et PME à la recherche de nouveaux clients ! Tout comme le bouche-à-oreille, le web vous permet de développer davantage votre notoriété, votre clientèle et, de facto, votre chiffre d’affaires.
Avoir un site web attractif
Le site internet est la vitrine virtuelle de votre entreprise. Il doit donc être attractif, ergonomique (facile d'usage) et donner une idée complète et positive des produits ou services offerts.
La notion de "Call to action" (appel à l'action) est une notion clé dans la construction d’un site. Il s’agit des moyens mis en œuvre pour inciter l'internaute à rester sur votre site et à aller voir plus loin. Le "clic" supplémentaire peut déboucher sur une autre page du site, permettre un contact, lancer une procédure d'achat… Les objectifs doivent être définis au moment de la conception du site.
Votre site affichera clairement les solutions et avantages qu’offre votre entreprise pour répondre au besoin de votre client potentiel.
Par exemple, le site d’un restaurant pensera à indiquer si le parking est aisé à proximité ; le site d’un serrurier mentionnera en haut de page son numéro d’appel d’urgence… Le site devra également se charger rapidement et être lisible sur un smartphone ou une tablette afin de le rendre accessible à tout moment et sur tout appareil.
Trouver des clients grâce au référencement naturel
Le moteur de recherche Google modifie en permanence son algorithme afin d’offrir aux internautes des résultats de recherche pertinents. Les contenus d’un site seront donc élaborés afin que le site soit visible et validé par Google. C’est ce que l’on appelle le référencement naturel ou SEO pour Search Engine Optimization. Cela passe notamment par un choix de mots clés pertinents pour définir l’activité de votre entreprise, la bonne gestion de balises HTML, la cohérence des hyperliens. Autant de notions avec lesquelles il est nécessaire de vous familiariser… à moins de confier cette matière à un professionnel.
Quoi qu’il en soit, en cas de collaboration avec une agence, veillez à être directement propriétaire de votre site. En d’autres termes : achetez en votre nom l’espace d’hébergement et le nom de domaine, et conservez vos propres accès au site pour toute modification.
Utiliser intelligemment les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux font plus que jamais partie de la stratégie marketing des entreprises. Poser un choix et mettre votre énergie dans l’un ou l’autre n’est pas toujours aisé. Quelles sont les meilleures opportunités ?
Petit tour d’horizon
En quelques années, les réseaux sociaux sont devenus incontournables pour créer une communauté autour d’une marque, trouver de nouveaux clients et/ou augmenter le trafic vers un site web.
Pour les réseaux sociaux dans lesquels votre entreprise sera présente, il est utile de définir les objectifs suivants :
- Développer la notoriété de votre entreprise
- Créer une communauté
- Augmenter le trafic vers votre site web
- Collecter des e-mails
- Faire de la prospection directe.
Consolider l’identité de votre entreprise
La cohérence entre tous les supports de communication de votre entreprise sera entretenue par l’utilisation d’une identité visuelle et éditoriale commune. Votre client pourra trouver des contenus ou informations complémentaires en visitant les réseaux sociaux de votre entreprise et votre site internet mais, partout, il trouvera une identité reconnaissable.
Les aspects techniques, juridiques, ergonomiques et éditoriaux d’un site étant nombreux, un accompagnement professionnel sera plus rentable que l’improvisation. Des solutions gratuites sont proposées sur le marché, mais les entreprises pour qui l’image de marque ou le volume d’activité en ligne sont importants auront intérêt à recourir à un professionnel de confiance pour ne pas investir du temps dans un résultat peu convaincant.
Gérer une activité seul n’est pas toujours évident. Il se peut que vous ressentiez l’envie, voire le besoin, de vous associer à quelqu’un d’autre pour un travail en particulier ou pour agrandir votre activité.
Collaborer avec un autre indépendant
Certaines professions sont souvent confrontées à des lacunes dans des domaines plus particuliers. Il est alors intéressant de collaborer avec un autre indépendant sur un projet en particulier afin que ce deuxième indépendant vous apporte des compétences que vous n’avez pas. Pour ce faire, il n’est pas nécessaire de passer en société. Vous pouvez décider tout simplement de conclure un contrat de collaboration avec ce deuxième indépendant.
Créer une société simple, sans personnalité juridique
Il se peut également que vous souhaitiez vous associer avec un autre indépendant pour un projet plus gros, plus complexe. Vous souhaitez rester en personne physique mais vous voulez une situation plus officielle qu’un contrat de collaboration. Vous avez alors la possibilité de créer une société simple, à laquelle vous pourrez attribuer un nom, ce qui vous donnera également une visibilité, etc. L’idée est de mettre des ressources en commun et de répartir les bénéfices de cette activité proportionnellement aux apports.
Ce type de société est facile à constituer et à dissoudre car elle n’a pas de personnalité juridique et l’acte constitutif prend la forme d’un contrat plutôt que de statuts. Cependant, étant donné que la société n’a pas de personnalité juridique, elle n’a pas de fonds propres. Les bénéfices sont directement attribués aux associés, conformément au schéma de répartition convenu. C’est le concept de la transparence fiscale, tout doit être distribué directement et on ne peut laisser une partie des bénéfices dans le patrimoine de la société pour les réinvestir. Pour cette raison, les deux indépendants seront soumis à l’impôt des personnes physiques, et non à l’impôt des sociétés. D’autres points sont également à prendre en compte, d’où l’intérêt de bien se renseigner à l’avance.
Créer une société avec personnalité juridique
Si vous souhaitez arrêter votre activité d’indépendant en personne physique et vous associer à d’autres personnes pour des raisons d’apport de fonds, de compétences, de responsabilité limitée ou autres, vous avez la possibilité de constituer une société.
Dans ce cas, différents types de sociétés existent en fonction de ce que vous souhaitez réaliser, du nombre de personnes intéressées par la constitution de cette société, des fonds dont vous disposez, etc. Le gros avantage de la constitution d’une société au niveau fiscal sera au niveau de l’imposition, étant donné que les revenus de la société seront taxés à l’impôt des sociétés à un taux fixe de 25 %, voire 20 % si vous remplissez un certain nombre de conditions. De nombreux frais peuvent également être déduits au sein de la société. Quoi qu’il en soit, constituer une société ne se fait pas à la légère et il est important de consulter diverses personnes (notaire, juriste, comptable, etc.) afin d’être certain de ce dans quoi vous vous lancez et des implications de votre choix.
Vous exercez des activités à l’étranger et souhaitez les déployer aussi sur le territoire belge, mais ne souhaitez pas créer une société de droit belge ? Par ailleurs, vous n’avez pas non plus l’intention de mandater un représentant qui pourrait engager les intérêts de votre société en Belgique ?
Vous pouvez créer une unité d’établissement c’est-à-dire un point de vente, un atelier de production, un bureau, un siège administratif ou tout autre lieu géographiquement identifiable par une adresse et où s’exerce au moins une activité régulière de l’entreprise et que vous gérez à partir du siège social de vos activités à l’étranger.
Chaque unité d’établissement est identifiée à la Banque-Carrefour des Entreprises (BCE) par un numéro unique à 10 chiffres.
Informations à nous communiquer
Chaque travailleur doit être rattaché à l’unité d’établissement (ou aux unités d’établissement) où il effectue ses prestations. L’ONSS n’autorise pas le calcul des réductions de cotisations de sécurité sociale pour les travailleurs qui ne sont rattachés à aucune unité d’établissement.
Si elles ne le sont pas, des sanctions administratives pourraient êtres appliquées (amendes, refus de déduction de certains frais professionnels, non couverture par l’assurance professionnelle…)
2 autres démarches
pour grandir avec UCM