Le 13 juin dernier avait lieu le barbecue annuel UCM qui rassemble plus de 500 indépendants, chefs de PME et représentants du monde économique namurois. L’occasion de mettre à l’honneur la thématique du bien-être des indépendants et de revenir sur les actions mises en place par UCM depuis mars dernier. Ne manquez pas les interviews vidéo pour en savoir plus.

Le bien-être au travail est devenu une préoccupation majeure pour l'ensemble de la société, et encore plus pour les travailleurs indépendants : « en 2000, 15 000 travailleurs indépendants étaient dans une situation difficile au niveau psychologique en lien avec le travail, on est passé à plus de 30 000, 20 ans plus tard » souligne David Clarinval, Ministre des indépendants et de PME.

Les caisses d’assurances sociales ont un rôle important à jouer dans le domaine du bien-être des indépendants : « Les conseillers UCM sont en contact permanent avec les indépendants, ils les connaissent, ils connaissent leurs problèmes, leurs difficultés » ajoute Jean-Benoît Le Boulengé, Administrateur délégué d’UCM. 

Un choix évident pour Pascal Denhaerinck, psychologue du travail et directeur général du CESI : « Le fait de faire appel à un acteur qu’ils connaissent bien et qui ne leur complique pas la vie, mais vers lequel ils peuvent se tourner car ils connaissent bien leur caisse, c’est l’idéal pour un indépendant, c’est compatible avec l’ADN de l’indépendant qui n’a pas de temps à perdre à chercher vers qui se tourner pour avoir ce genre de chose. »
 

UCM, en partenariat avec le CESI, aide les indépendants à améliorer leur bien-être en leur proposant des ateliers et webinaires, des articles chaque mois, ainsi qu’une application destinée à booster leur bien-être. Un accompagnement individuel est aussi proposé : L’équipe "UCM, j'entreprends mon bien-être" et ses conseillers guident et orientent les indépendants vers la meilleure solution.

Un outil est également utilisé pour évaluer le bien-être des indépendants via un questionnaire : « On identifie dans sa vie d’entrepreneur, sur les derniers mois, quels sont les stresseurs qu’on a rencontrés et quels sont les éléments satisfacteurs : engager un nouveau membre du personnel, avoir un nouveau client, réussir un projet, faire une fête… et après, on a sa balance. C’est l’indépendant lui-même qui est en autonomie » explique Renaud Francart, expert au service d’étude d’UCM.